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KINSHASA/DTC : LA NOMINATION AU GOUVERNEMENT DE THÉODORE KAZADI FETEE PAR LES JEUNES ET FEMMES DE SON PARTI À LA FICKIN 

C’est dans une ambiance festive, ponctuée de chants, d’applaudissements et de cris de joie que le vice-ministre de l’Éducation nationale et Nouvelle citoyenneté, Théodore Kazadi, a été porté en triomphe à la suite de sa nomination au gouvernement. 

C'etait le samedi 27 septembre 2025 à la FICKIN.

L’événement, organisé par les ligues des jeunes et des femmes de son parti politique AA/C, visait à lui témoigner leur soutien pour son élévation en dignité.

La cérémonie a débuté par une prière solennelle, suivie de la présentation des personnalités présentes, notamment les élus de la DTC, kes présidents de partis alliés, les membres du bureau politique, ainsi que des délégués venus du Sud-Ubangi, du Haut-Katanga, du Tanganyika, du Kasaï et du royaume Kuba représenté par le Prince Kwete Nyimi.

Le programme de l’événement s’est articulé autour de plusieurs temps forts :  

1. Mot du représentant des jeunes,  

2. Intervention de la présidente de la ligue des femmes,  

3. Remise des cadeaux,  

4. Discours de l’Autorité morale,  

5. Lecture de la motion de soutien au Président Félix Tshisekedi.

Dans son allocution, Paul Iketa, représentant des jeunes, a salué la nomination de Théodore Kazadi comme une victoire collective : « Votre nomination n’est pas un honneur personnel, mais une victoire commune", a-t-il dit.

Après une remise symbolique de cadeaux, Théodore Kazadi, prenant la parole en tant qu’Autorité morale, a remercié les organisateurs pour l’initiative et salué l’engagement des militants « Chaque membre, chaque personnalité qui a lutté avec nous doit être fier. Il trouvera son compte à travers notre prestation. », a-t-il martelé.

S’adressant aux jeunes, il a affirmé : « Vous constituez notre force, c’est l’occasion de reconnaître votre engagement. », a-t-il enchainé.

À l’endroit des mamans de la DTC, il a ajouté: « Vous êtes notre espoir de demain. À la DTC, il y a de la place pour tout le monde.", a-t-il insité.

Fidèle à sa ligne patriotique, le vice-ministre n’a pas manqué d’évoquer la situation sécuritaire dans l’Est du pays. « Nous devons nous mobiliser jour et nuit derrière le Chef de l’État pour retrouver la paix. », telle a été son appel patriotique. 

La cérémonie s’est clôturée par la lecture d’une motion de soutien à Félix Tshisekedi et un mot de la fin empreint de gratitude et d’unité.

 

A. BOPE

 

KINSHASA/DTC : LA NOMINATION AU GOUVERNEMENT DE THÉODORE KAZADI FETEE PAR LES JEUNES ET FEMMES DE SON PARTI À LA FICKIN 
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DÉMISSION DE VITAL KAMERHE ASSEMBLÉE NATIONALE : L'ALLIÉ DES PREMIÈRES HEURES DE FÉLIX TSHISEKEDI PEUT-IL TOURNER LE DOS À L'UNION SACRÉE ?

La démission de Vital Kamerhe de la présidence du bureau de l’Assemblée nationale marque un tournant significatif dans le paysage politique congolais. L'allié de Félix Tshisekedi et acteur clé de l’Union sacrée, Kamerhe a longtemps été perçu comme un pilier de cette coalition, qui visait à stabiliser le pays et à promouvoir des réformes nécessaires. Sa décision de quitter ce poste suscite de nombreuses interrogations sur l’avenir de cette alliance et sur ses implications pour la politique nationale.

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DÉMISSION DE VITAL KAMERHE ASSEMBLÉE NATIONALE : L'ALLIÉ DES PREMIÈRES HEURES DE FÉLIX TSHISEKEDI PEUT-IL TOURNER LE DOS À L'UNION SACRÉE ?
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RDC: "CHAQUE FRANC DÉTOURNÉ DEVRA RETOURNER DANS LA CAISSE DE L'ÉTAT " GUILLAUME NGEFA 

Le mercredi 17 septembre 2025 le gouvernement a haussé le ton face aux défis qui secouent la République démocratique du Congo. Lors d’un briefing conjoint animé par le ministre d’État à la Justice, Guillaume Ngefa, et le ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya, l’exécutif a réaffirmé sa détermination à lutter contre la corruption, moderniser le système judiciaire et répondre aux urgences humanitaires dans les zones en crise.

Dans un discours sans détour, Guillaume Ngefa a annoncé un changement de cap : les auteurs de détournements de fonds publics ne seront plus seulement jugés, mais également contraints de restituer l’argent volé.

« On ne peut pas dépouiller l’État de ses ressources sans que les fonds détournés ne retournent dans les caisses publiques », a-t-il martelé.

Le ministre s’est félicité de voir, pour la première fois, un cas de corruption aboutir à la récupération effective de ressources par l’État. Pour lui, ce sera désormais la règle : chaque franc soustrait devra revenir au Trésor.

Par ailleurs, il a promis des réformes profondes dans le secteur de la justice : digitalisation des procédures, modernisation de l’administration, et responsabilisation de toute la chaîne judiciaire magistrats, avocats, greffiers, huissiers et personnel de parquet.

« La lutte contre la corruption est ma priorité numéro un. Et pour y parvenir, je travaillerai main dans la main avec le Conseil supérieur de la magistrature », a-t-il insisté.

Au-delà de la gouvernance judiciaire, le ministre a mis l’accent sur l’amélioration des conditions de détention. Une nouvelle prison, prévue à Maluku sur un terrain de 100 hectares, devrait voir le jour dès cette année. Elle sera adaptée aux réalités actuelles, avec des espaces spécifiques pour les femmes et les mineurs.

« C’est le Président de la République qui a donné ces orientations. Le projet est inscrit au budget 2026 », a confirmé Guillaume Ngefa.

Prenant la parole à son tour, Patrick Muyaya a dressé un constat préoccupant de la situation sécuritaire dans les zones encore occupées par des groupes armés.

« Non seulement ils brutalisent les populations, mais ils veulent aussi se rendre justice eux-mêmes. Le gouvernement veillera à ce que leurs actes n’aient aucun effet et qu’ils soient annulés en temps voulu », a-t-il averti.

Entre réformes judiciaires, relance des infrastructures pénitentiaires et interventions humanitaires, le gouvernement congolais veut afficher une nouvelle fermeté. Le ton employé par Guillaume Ngefa et Patrick Muyaya traduit une volonté d’en finir avec l’impunité et de répondre aux crises multiples qui pèsent sur le pays.

 

LK

RDC: "CHAQUE FRANC DÉTOURNÉ DEVRA RETOURNER DANS LA CAISSE DE L'ÉTAT " GUILLAUME NGEFA 
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ASSEMBLEE NATIONALE. CE QUE DIT LE R.I. A PROPOS DES PÉTITIONS

1.Aucune signature ne peut être ni retirée ni ajoutée après le dépôt de la pétition.

2. Dans tous les cas, l’Assemblée nationale constitue une Commission spéciale et temporaire composée d’un délégué par groupe parlementaire et d’un non inscrit.

3. La Commission spéciale et temporaire entend les parties et dépose son rapport au Bureau de l’Assemblée nationale.

4. Dans les soixante-douze heures qui suivent son dépôt, le Bureau soumet à l’Assemblée plénière pour examen.

5. passé ce délai, la pétition est de droit mise à débat.

6. Une fois le débat est engagé, il ne peut être interrompu jusqu’au vote

 

LA RÉDACTION 

 

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ASSEMBLÉE NATIONALE : LES PÉTITIONNAIRES PASSENT À l’OFFENSIVE ET EXIGENT DES DEMISSIONS EN CASCADE

Un nouveau séisme politique frappe la chambre basse du Parlement congolais. Plus de 200 députés nationaux se sont officiellement constitués en bloc pour exiger la démission immédiate de plusieurs membres clés du bureau de l’Assemblée nationale.

Les cibles de la fronde

Parmi les personnalités visées par cette offensive parlementaire, on retrouve :

- Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale  

- Jacques Djoli, rapporteur  

- Dominique Munongo Inamizi, rapporteur adjoint  

- Chimène Polipoli, questeur  

- Grace Neema, questeur adjoint

Les pétitionnaires accusent ces membres du bureau de mauvaise gestion, manque de transparence et dysfonctionnements graves dans la conduite des affaires parlementaires.

Cette contestation survient alors que la rentrée parlementaire bat son plein, et que les tensions internes s’aggravent depuis plusieurs semaines. Les pétitionnaires, plus déterminés que jamais, affirment vouloir aller jusqu’au bout, n’excluant pas des recours judiciaires si les demandes ne sont pas prises en compte.

Ce bras de fer ouvre une nouvelle page d’incertitude pour la gouvernance législative en RDC. Le bureau de l’Assemblée, pour l’instant silencieux, devra clarifier sa position rapidement pour éviter l’enlisement de la crise.

 

Ernest KANDALA

 

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ASSEMBLÉE NATIONALE/PETITION CONTRE KAMERHE, LES DÉPUTÉS EN PLÉNIÈRE CE MERCREDI 17 SEPTEMBRE 

Pas de repos pour les députés nationaux. Aussitôt, la session ordinaire lancée, les élus du peuple se mettent déjà au travail.

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le bureau de l'Assemblée nationale invite les députés nationaux à prendre part à la plénière ce mercredi 17 septembre.

" Conformément aux dispositions de l'article 22 alinéa 2 du règlement intérieur de l'assemblée nationale, nous invitons les honorables députés nationaux à prendre part à la plénière qui se tiendra ce mercredi 17 septembre 2025 à 14 heures dans la salle du congrès du Palais du peuple ", indique le communiqué signé par le Professeur Isaac Jean-Claude Tshilumbayi Musawu, premier vice-président de la chambre basse du parlement.

D'après ce communiqué, il sera question pour les élus du peuple d'examiner la mise en place de la commission spéciale chargée d'examiner les pétitions contre certains membres du Bureau de l'Assemblée nationale dont le Président Vital Kamerhe.

A titre de rappel, une pétition a été déposée lundi 15 septembre par un groupe de 262 députés nationaux, au bureau du premier vice-président de l'assemblée nationale.

Les députés nationaux signataires de cette pétition reprochent notamment à Vital Kamerhe, la « mauvaise gestion opaque » des finances de leur chambre.

 

T.L

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PETITION CONTRE VITAL KAMERHE: QUE FAUT-IL COMPRENDRE

La vie politique congolaise est secouée par une initiative aussi rare que révélatrice : une pétition contre Vital Kamerhe, actuel président de l’Assemblée nationale. Portée par certains députés nationaux, cette démarche remet en question sa légitimité à occuper la deuxième plus haute fonction de l’État. Mais au-delà du geste politique, c’est une interrogation profonde sur l’état de notre démocratie parlementaire qui s’impose. Que cache cette pétition ? Est-elle l’expression d’une crise institutionnelle, d’un malaise interne à la majorité, ou d’un sursaut démocratique salutaire ?

Il faut d’abord rappeler que Vital Kamerhe est une figure centrale de la scène politique congolaise. Ancien directeur de cabinet du président Tshisekedi, il a connu une traversée judiciaire mouvementée, avant d’être blanchi par la justice et de faire un retour en force en 2023-2024. Son élection à la tête de l’Assemblée nationale, bien que soutenue par l’Union sacrée, n’a jamais fait l’unanimité. La pétition actuelle vient confirmer ces lignes de fracture.

Mais ce n’est pas seulement la personne de Kamerhe qui est en cause. Cette contestation traduit également un malaise plus profond au sein de l’Assemblée nationale. Elle révèle des tensions internes, des frustrations politiques, et peut-être aussi une lutte pour la redistribution du pouvoir dans un contexte où la majorité présidentielle, bien que forte en nombre, semble fragilisée par des intérêts divergents.

Faut-il y voir une crise institutionnelle ? Pas nécessairement. Le recours à une pétition reste un acte démocratique, prévu par les textes et légitime dans son principe. Il montre que les élus cherchent à faire entendre leur voix autrement que par les canaux traditionnels souvent verrouillés. En ce sens, il faut saluer l’usage de moyens démocratiques pour exprimer des désaccords, plutôt que de recourir aux règlements de compte obscurs qui ont longtemps marqué la politique congolaise.

Cependant, il serait naïf de croire que cette pétition est dénuée de calculs politiques. Dans les coulisses, chacun cherche à renforcer sa position, à peser davantage dans les arbitrages futurs, voire à se positionner pour les échéances à venir. Kamerhe, en tant qu’homme politique expérimenté, le sait. Mais ce qui est nouveau, c’est que l’opposition à une figure aussi puissante se manifeste désormais publiquement, par des actes concrets.

Ce moment politique peut donc être lu comme un tournant. Soit il s’agit d’un simple réajustement interne, une forme de régulation naturelle dans une démocratie en construction. Soit, à plus long terme, cette fronde pourrait ouvrir la voie à une recomposition plus large du paysage politique, en dehors des schémas traditionnels de fidélité aveugle au pouvoir.

La pétition contre Vital Kamerhe n’est pas un épiphénomène. Elle nous oblige à réfléchir à la nature des alliances politiques, à la légitimité des institutions et à l’exigence de responsabilité des élus. Elle rappelle surtout que dans une démocratie, même fragile, aucun pouvoir, aussi haut placé soit-il, n’est à l’abri de la contestation. Et c’est peut-être là, paradoxalement, un signe de bonne santé.

 

LK

PETITION CONTRE VITAL KAMERHE: QUE FAUT-IL COMPRENDRE
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BRAS DE FER À l’ASSEMBLEE NATIONALE : LES DÉPUTÉS PÉTITIONNAIRES REJETTENT LES EXCUSES DE VITAL KAMERHE

La tension reste vive au Palais du Peuple. Malgré les excuses publiques présentées récemment par Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale, un groupe de 261 députés nationaux a réaffirmé ce samedi son rejet total de ce geste qu’ils jugent insuffisant et tardif.

Par la voix du député de Butembo, Crispin Mbindule, ces élus se sont montrés fermes :

« Qui s’excuse s’accuse. Nous ne sommes pas dans une logique d’apaisement superficiel. La démarche judiciaire est inévitable. »

Une crise persistante

Cette fronde parlementaire s’inscrit dans le contexte déjà tendu de la rentrée parlementaire de septembre, marquée par des accusations graves contre Kamerhe, notamment sur la gestion interne de l’Assemblée, le manque de transparence et des décisions controversées.

Cap sur la justice

Les pétitionnaires annoncent leur intention de saisir la justice, jugeant les excuses de Kamerhe comme une tentative de diversion face à des faits qu’ils estiment répréhensibles.

 

Ernest KANDALA

 

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RDC : LE PRÉSIDENT FÉLIX TSHISEKEDI A PRÉSIDÉ LA 54ème RÉUNION DU CONSEIL DES MINISTRES

Ce vendredi 15 août, sous la présidence du Chef de l’État Félix Tshisekedi, les membres du gouvernement ont pris part à la 54ème réunion du Conseil des ministres, la première du gouvernement Suminwa II.

Pour la première rencontre de ce nouvel Éxecutif, outre la traditionnelle communication du Président de la République, le Conseil va suivre quelques exposés relatifs entre autres à l’état de l’administration du territoire, l’évaluation de la situation sécuritaire et la note d’information sur la publication des premiers résultats de l’examen d’État 2025.

Le Conseil a également examiné quelques projets de loi, notamment le décret portant statut, organisation et fonctionnement d’un établissement dénommé Fonds d’investissement stratégique de la RDC, en vue de leur adoption.

Publié officiellement dans la nuit du jeudi 7 au vendredi 8 août dernier, le gouvernement Suminwa II, dit d’ouverture, est composé de 53 membres dont 6 vice-Premiers ministres, 12 ministres d'État, 24 ministres, 5 ministres délégués et 6 vice-ministres.

 

LPP/PRESIDENCE

RDC : LE PRÉSIDENT FÉLIX TSHISEKEDI A PRÉSIDÉ LA 54ème RÉUNION DU CONSEIL DES MINISTRES
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UNION SACREE: LE CONGRÈS FIXÉ POUR CE 30 AOÛT 2025

Jeudi 14 août 2025, le chapiteau de l’hôtel Pullman, à Kinshasa, a de nouveau été le théâtre d’une importante réunion politique.

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, en sa qualité de Haute Autorité politique de l’Union sacrée de la Nation (USN), a rassemblé les membres du Présidium de sa plateforme.

C’est la troisième rencontre en moins de deux semaines, un rythme qui témoigne de l’importance des enjeux. Comme annoncé lors de la précédente réunion du dimanche 10 août, plusieurs dossiers stratégiques étaient sur la table : adoption de la nouvelle Charte, validation du Règlement intérieur et préparation du Congrès de l’USN.

À l’issue de cette rencontre, une date clé a été fixée : le 30 août prochain, les membres de l’Union Sacrée se retrouveront pour un Congrès au cours duquel la nouvelle Charte sera officiellement adoptée.

Pour l’USN, ce rendez-vous ne sera pas seulement formel : il marquera une étape importante dans la structuration de la plateforme présidentielle à l’approche des prochaines échéances politiques.

 

LK

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RDC: FELIX TSHISEKEDI A PRIS PART A UN SOMMET CONJOINT VIRTUELLE DE L'EAC-SADC


Ce mercredi dans ses bureaux de la Cité de l’Union africaine, à Kinshasa, le Président Félix Tshisekedi a pris part à un sommet virtuel EAC (Communauté d’Afrique de l’Est - SADC (Communauté de développement d’Afrique australe).

Outre le Président de la République, Félix Tshisekedi, les Chefs d’États de Zambie, du Rwanda, du Zimbabwe et du Kenya y ont participé en personne, alors que l’Ouganda et le Burundi ont été représentés par leurs vice-présidents. L’Angola, Madagascar et la Somalie ont, quant à eux, été représentés par leurs ministres respectifs en charge des Affaires étrangères à cette rencontre virtuelle.

S'inscrivant dans la suite du sommet tenu le 1er août 2025, les différents participants à la visioconférence ont abordé quelques points essentiels parmi lesquels les termes de référence du Groupe de cinq facilitateurs nommé par le sommet conjoint EAC-SADC. À ce sujet, le sommet conjoint a coopté l'ancien président botswanais, Mokgweetsi Éric Masisi, qui a rejoint les quatre autres co-facilitateurs.

 

LPP/PRESIDENCE

RDC: FELIX TSHISEKEDI A PRIS PART A UN SOMMET CONJOINT VIRTUELLE DE L'EAC-SADC
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RDC: "LA RÉUNION DES OPPOSANTS PRO-REBELLION A BRUXELLES NE CONCERNE NI LAMUKA NI ADD CONGO"PRINCE EPENGE

Dans une interview accordée à media de la place, Prince Epenge, porte-parole de la coalition LAMUKA et président de l’ADD Congo, a tenu à clarifier la position de son mouvement face à certaines initiatives politiques menées à l’étranger.

Réagissant à une réunion d’opposants pro-rébellion tenue récemment à Bruxelles, Epenge a été catégorique : « Cette rencontre ne concerne ni LAMUKA ni ADD Congo. Nous ne sommes ni de près ni de loin associés à ce genre d’initiative. »

Il a réaffirmé l’engagement de LAMUKA à rester du côté du peuple congolais : « LAMUKA milite toujours aux côtés de la population, pour un changement pacifique, démocratique et respectueux de l’intérêt national. »

Cette sortie vise à dissiper toute confusion sur les alliances ou intentions de la plateforme, alors que le climat politique reste tendu en RDC.

 

LK

RDC: "LA RÉUNION DES OPPOSANTS PRO-REBELLION A BRUXELLES NE CONCERNE NI LAMUKA NI ADD CONGO"PRINCE EPENGE
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