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KINSHASA : LE CAPITAINE JUNIOR MBOSO ARRETÉ APRÈS SA DÉMISSION CHOC DE LA POLICE NATIONALE CONGOLAISE 

Moins de 24 heures après avoir annoncé sa démission fracassante de la Police nationale congolaise (PNC), le capitaine Junior Mboso a été interpellé ce mardi 26 août 2025. Il est actuellement entendu par le service des renseignements généraux (DRG), selon plusieurs sources sécuritaires.

Fils du 2e Vice-président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, l’officier avait provoqué un véritable séisme médiatique en dénonçant publiquement des « alliances avec des criminels » et des « violations graves des droits humains » au sein de la PNC. « Je refuse de participer à un génocide », avait-il déclaré dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux.

Les circonstances exactes de son arrestation restent encore floues, mais plusieurs analystes y voient une tentative d'étouffer un scandale qui pourrait secouer les plus hautes sphères sécuritaires du pays. Des ONG de défense des droits humains suivent de près cette affaire et appellent à garantir les droits fondamentaux de l’officier démissionnaire.

L’opinion publique reste suspendue à l’évolution de cette affaire, qui met en lumière de profondes tensions internes au sein des forces de sécurité congolaises.

 

Ernest KANDALA

KINSHASA : LE CAPITAINE JUNIOR MBOSO ARRETÉ APRÈS SA DÉMISSION CHOC DE LA POLICE NATIONALE CONGOLAISE 
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OGEFREM INVITÉ À UNE CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LA PAIX PAR LE PARLEMENT EUROPÉEN

Kinshasa, le 26 Août 2025

Le Conseil Universel pour la Paix des Nations et des Continents, CUPAC en sigle, a remis le mardi 26 Août 2025, au Directeur Général de l'Ogefrem son invitation à participer le 01 Octobre 2025 à la conférence internationale sur la paix durable en République Démocratique du Congo organisé par le Parlement européen. 

William Kazumba Mayombo qu'accompagnaient quelques Directeurs de son office a accusé officiellement réception de cette invitation lui adressée par les Députés Europeans au siège de du CUPAC au quartier GB dans la commune de la Gombe au cours d'une brève cérémonie solennelle.  

Il sied de rappeler qu'il y a quelques mois le CUPAC a décerné une médaille de mérite pour la paix durable au regard de la reponse de l'Ogefrem à l'appel du commandant suprême des FARDC et de la PNC , Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à la mobilisation générale pour soutenir les hommes des troupes au front afin de défendre la patrie. 

Aussi faut-il rappeller la contribution financière de l'Ogefrem à hauteur de 1 million de dollars aux FARDC et le don des vivres et non vivres aux orphelins et veuves des blessés de guerre cette année en cours 

 

PRESSE OGEFREM

OGEFREM INVITÉ À UNE CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LA PAIX PAR LE PARLEMENT EUROPÉEN
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SADC: OUVERTURE DE L'ATETELIER REGIONAL SUR LES NTIC

Kinshasa accueille un atelier régional de formation sur les statistiques des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’espace de la Communauté de développement de l’Afrique australe(SADC).

Le go de cet allier a été donné ce lundi 25 août 2025 par le ministre des Postes et télécommunications, Me José Mpanda Kabangu.

Plusieurs experts venus des pays membres de la SADC vont , durant trois jours, soit jusqu’au 27 août, renforcer leurs capacités à collecter, analyser et utiliser des données fiables sur les technologies de l’information et de la communication.

Dans son mot d’ouverture, le ministre des Postes et télécommunications a démontré le rôle des statistiques des TIC, considérées actuellement comme un thermomètre du développement des États.

« Cet atelier régional s’inscrit dans un contexte où les statistiques des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) sont devenues le talon des mesures de notre développement socio-économique et permettent la prise des mesures et politiques publiques bien éclairées », a déclaré Me José Mpanda Kabangu.

Le ministre des PT a indiqué aux participants que, dans le cadre du renforcement du dispositif institutionnel et de la collecte des données, l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications du Congo (ARPTC), placée sous sa tutelle, occupe une place centrale en travaillant en étroite collaboration avec l’Institut national de la statistique (INS), rattaché au ministère du Plan.

 

LPP/ALTERNANCE.CD

SADC: OUVERTURE DE L'ATETELIER REGIONAL SUR LES  NTIC
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MESSAGE DE FELICITATIONS DE L'OGEFREM AU VICE PREMIER MINISTRE, MINISTRE DES TRANSPORTS, VOIES DE COMMUNICATION ET DE DESENCLAVEMENT, JEAN_PIERRE BEMBA GOMBO

Excellence Monsieur le Vice-Premier Ministre,

A l'occasion de votre reconduction au Gouvernement, en qualité de Vice Premier Ministre, Ministre des Transports, Voies de Communication et Désenclavement, par l'ordonnance Présidentielle n°25/247, du 07/08/2025, j'ai l'immense joie de présenter à votre Excellence, au nom de l'ensemble du personnel de l'OGEFREM, à celui de la Direction Générale et au mien propre, mes sincères et chaleureuses félicitations.

Loin d'être un fait du hasard, votre reconduction au sein de l'équipe gouvernementale témoigne de la confiance placée en vous par son Excellence Monsieur le Président de la République, chef de l'Etat, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, consécutive à votre maîtrise avérée du secteur de transports et votre engagement foncièrement patriotique qui se passe de tout commentaire dans l'opinion.

L'OGEFREM assure à votre Excellence son soutien indéfectible dans l'accomplissement sans faille de vos lourdes fonctions à la tête de ce ministère hautement stratégique pour le développement de notre cher et beau pays.

 

KAZUMBA MAYOMBO WILLIAM 

DIRECTEUR GÉNÉRAL

MESSAGE DE FELICITATIONS DE L'OGEFREM AU VICE PREMIER MINISTRE, MINISTRE DES TRANSPORTS, VOIES DE COMMUNICATION ET DE DESENCLAVEMENT, JEAN_PIERRE BEMBA GOMBO
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TICAD9 : JUDITH SUMINWA ET LE PREMIER MINISTRE ÉGYPTIEN RENFORCENT LES LIENS RDC - EGYPTE AUTOUR DU PROJET GRAND INGA

20 août 2025 | Yokohama

Cheminant dans la série de rencontres diplomatiques en marge de la TICAD9, la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a été reçue par son homologue égyptien, Moustafa Kamal Madbouli, pour une quatrième audience de haut niveau, au Japon.

•⁠ ⁠Les deux Chefs de Gouvernement ont salué l’ancienneté et la qualité des relations bilatérales entre la RDC et l’Égypte, fondées sur une coopération africaine historique et mutuellement bénéfique.

•⁠ ⁠Le Premier Ministre égyptien a adressé ses félicitations officielles à Mme Suminwa pour sa reconduction à la tête du Gouvernement, et a exprimé le souhait de renforcer les partenariats stratégiques, notamment dans les secteurs clés.

Au cœur des échanges : le projet Grand Inga, pour lequel l’Égypte a marqué un intérêt fort, en mettant en avant son expertise en matière d’énergie, d’eau et d’infrastructures.

M. Madbouli a également invité la RDC à prendre part à l’inauguration prochaine du Grand Musée du Caire (GEM), témoignant d’un désir d’approfondir la coopération culturelle et diplomatique.

Cette audience s’inscrit dans la continuité du parcours diplomatique engagé par la Première Ministre à la TICAD9, illustrant la volonté de la RDC de bâtir des partenariats solides au service du développement partagé.

 

LPP/PRIMATURE 

 

TICAD9 : JUDITH SUMINWA ET LE PREMIER MINISTRE ÉGYPTIEN RENFORCENT LES LIENS RDC - EGYPTE AUTOUR DU PROJET GRAND INGA
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OGEFREM: SIGNATURE DE 4 CONTRATS DE MANDAT SPECIAL AVEC LES NOUVEAUX MANDATAIRES.

L'OGEFREM, par le biais de son Directeur Général, William Kazumba Mayombo, a signé le mardi 19 Août 2025 quatre contrats de mandat spécial avec quatre firmes. A savoir GREEN ROAD, AMI CONGO, MAERSK CONGO et MARITI GESTION. 

La cérémonie s'est déroulée dans la salle des réunions du conseil d'administration et présidée par son Président Adolphe AMISI MAKUTANO en présence des Administrateurs, membres du conseil d'administration, du Directeur Général de l'Ogefrem, les mandataires de quatre Entreprises et les différents Directeurs sectoriels de l'Ogefrem. 

Après la signature des contrats de mandat spécial pour la délivrance des documents xe traçabilité du fret ( FERI-AD-FERI), le Manuel des procédures a été remis aux mouveaux mandataires dont le personnel devra être formé à l'utilisation des instruments de traçabilité sus-évoqués.

 

LA REDACTION

OGEFREM: SIGNATURE DE 4 CONTRATS DE MANDAT SPECIAL AVEC LES NOUVEAUX MANDATAIRES.
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RDC : LA BELGIQUE VEUT REMETTRE LE CONFLIT MILITAIRE DANS L'AGENDA DE L'UNION EUROPÉENNE 

En tournée politique et humanitaire dans 4 pays de l’Afrique centrale et orientale, le vice-Premier ministre, ministre belge des Affaires étrangères, des Affaires européennes et de la Coopération au développement, Maxime Prévôt, a été reçu ce mardi à la Cité de l’Union africaine par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi.

À l’issue de leur entretien de près de deux heures, M. Prévot a réaffirmé l’engagement ferme de la Belgique, et plus largement de l’Union européenne (UE), dans les efforts de paix menés par la République Démocratique du Congo (RDC). Sur un ton grave, il a en substance déclaré que la Belgique veut remettre le conflit militaire de la RDC dans l’agenda européen.

« La Belgique reste extrêmement préoccupée par les atrocités qui se déroulent dans l'Est du Congo. Nous avons salué, comme il se doit, les efforts réalisés par Washington et Doha pour pouvoir esquisser les pourtours d'une paix potentielle dont la population a urgemment besoin », a déclaré le VPM belge. 

Selon lui, malgré les efforts diplomatiques en cours, il subsiste encore un grand décalage entre les intentions couchées sur papier et la réalité du terrain. « Le mois qui s'est écoulé depuis la signature est probablement l'un des mois le plus meurtrier », a regretté M. Prévot.

 « Il y a toujours trop de violences, trop de viols, trop de tueries. Il y a des problèmes humanitaires qui restent criants. Il y a motif à avoir toujours d'énormes préoccupations par rapport à la situation dans l’Est du Congo où on voit du reste le M23 s'installer, organiser sa propre administration, son propre appareil de justice, remplacer les chefs coutumiers, se comporter finalement comme si le territoire était devenu leur État. Ce n'est pas acceptable ! », a-t-il souligné.

Le Chef de la diplomatie belge a insisté sur la nécessité pour la communauté internationale de rester mobilisée sur la situation dans l’Est de la RDC. Dans ses propos, Maxime Prévôt relève que « la Belgique a toujours été une grande défenderesse des principes du droit international, en ce y compris, évidemment, de l'intégrité des territoires et de la souveraineté des États, ce qui n'est actuellement pas du tout garanti ni respecté dans la partie orientale de la RDC ».

Au-delà du rôle des acteurs régionaux et internationaux, Maxime Prévot a encouragé l’impulsion d’un dialogue national à l’intérieur de la RDC. Il a estimé qu’en complément des démarches externes, il était essentiel d’envoyer des signaux internes forts en faveur de la paix et de la stabilité.

Le patron de la diplomatie belge a souhaité pouvoir remettre la question de la situation humanitaire dramatique dans l’Est du Congo à nouveau dans l'agenda des futurs conseils européens des Affaires étrangères pour que ce ne soit pas finalement une situation passée sous silence au motif que l'initiative a été prise par les États-Unis et le Qatar. 

Au sujet justement des Processus de Washington et de Doha, M. Prévôt a fait savoir qu’il s’agit « des initiatives louables, des initiatives que nous soutenons parce que nous voulons croire à la bonne foi de l'ensemble des partis qu'il s'agisse de la RDC et du Rwanda pour œuvrer à une paix qui est indispensable à obtenir de manière rapide et durable dans l’Est du Congo, et les Européens doivent rester vigilants sur cette situation. »

Cette deuxième visite du ministre des Affaires étrangères belge en RDC, en l’espace de 4 mois, s’inscrit dans un double volet politique et humanitaire en Afrique centrale. Après Brazzaville, Kinshasa et Lubumbashi, M. Prévôt va poursuivre sa tournée au Kenya pour y évoquer la crise humanitaire en Ethiopie.

Le ministre belge était accompagné de l’Ambassadrice du Royaume de Belgique en RDC, de l'Envoyé spécial belge pour les Grands Lacs, Marc Pecsteen, et de son Conseiller pour l’Afrique, Thomas Stevens.

 

LPP/PRESIDENCE

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RDC: LA BANQUE CENTRALE INJECTE 50 MILLIONS USD POUR CALMER LA TEMPÊTE SUR FRANC CONGOLAIS

La Banque Centrale du Congo (BCC) tente de reprendre la main face à la pression persistante qui pèse sur le franc congolais. Dans un communiqué publié le 16 août 2025, l’institution dirigée par André Wameso Nkualoloki a annoncé avoir vendu 50 millions de dollars américains aux banques commerciales, au taux de 2 776 CDF pour 1 USD.

Cette opération vise clairement à soulager un marché des changes en surchauffe, où le billet vert continue de dicter sa loi. En injectant cette liquidité, la BCC espère non seulement stabiliser la monnaie nationale, mais aussi restaurer un peu de confiance auprès des opérateurs économiques et des ménages qui voient leur pouvoir d’achat s’éroder.

Au-delà de la simple intervention technique, la Banque Centrale en a profité pour lancer un appel appuyé : privilégier les transactions bancarisées. Pour elle, passer par le circuit bancaire ne se limite pas à une question de commodité. C’est aussi une manière de renforcer la transparence, de mieux contrôler les flux financiers et de participer à la lutte contre le blanchiment d’argent.

Cette nouvelle injection montre une fois de plus que la Banque Centrale n’entend pas rester spectatrice. Mais la question demeure : jusqu’où pourra-t-elle contenir la pression, alors que la demande de dollars reste forte et que l’économie congolaise dépend encore largement des importations.

 

LK

RDC: LA BANQUE CENTRALE INJECTE 50 MILLIONS USD POUR CALMER LA TEMPÊTE SUR FRANC CONGOLAIS
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RDC: LES ADMINISTRATEURS DE TERRITOIRES MENANCENT D'ALLER EN GREVE

Un nouveau bras de fer s’ouvre entre l’État congolais et ses représentants territoriaux. Dans une correspondance adressée au Vice-Premier Ministre en charge de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, les Administrateurs de Territoires (AT) et leurs Assistants (ATA) annoncent l’entrée en grève illimitée sur toute l’étendue du pays à partir de ce lundi 18 août 2025.

Les signataires de cette lettre expliquent qu’ils se trouvent dans une situation intenable : trois ans sans rémunération, malgré les responsabilités cruciales qui leur incombent dans la gestion des territoires du pays. Ils dénoncent des « conditions inhumaines et dégradantes » dans lesquelles ils exercent leurs fonctions, affirmant ne plus pouvoir continuer à assumer leurs missions sans moyens ni considération.

Les Administrateurs de Territoires jouent un rôle central dans l’organisation et la gouvernance de la RDC. Ils sont les relais directs de l’État dans les 145 territoires du pays, assurant la sécurité, la coordination des services publics et la gestion quotidienne des affaires locales.

Pour eux, cette grève illimitée n’est pas un choix de confort mais un cri d’alarme face à la précarité qui menace leur dignité et leur efficacité.

Dans leur correspondance, les AT et ATA saluent la reconduction du ministre de l’Intérieur au sein du gouvernement de Judith Suminwa, tout en appelant les autorités à traduire cette confiance politique en actes concrets. Ils réclament une régularisation urgente de leur situation salariale et de meilleures conditions de travail afin de pouvoir continuer à servir la nation.

Si cette grève est effectivement observée comme prevue, elle pourrait avoir de lourdes conséquences sur l’administration territoriale. La gestion de nombreux dossiers liés à la sécurité, aux affaires coutumières, mais aussi au développement local risque d’être paralysée.

La balle est désormais dans le camp du gouvernement, qui devra répondre rapidement à ce mouvement pour éviter une crise administrative dans un pays où les territoires constituent la véritable ossature de l’État.

 

LK

RDC: LES ADMINISTRATEURS DE TERRITOIRES MENANCENT D'ALLER EN GREVE
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FICKIN: LES ÉTUDIANTS DE L'ISIPA VISITENT LE STAND DE L'OGEFREM

Kinshasa, 17 Août 2025.

Les étudiants finalistes du Département de la communication numérique à L'ISIPA ont visité le dimanche 17 Août 2025 l'exposition des services de l'Ogefrem à la Foire internationale du Congo Kinshasa, FICKIN en sigle.

Soucieux de connaitre l'Ogefrem dont ils ont toujours entendu sans en connaitre les missions et services. 

Grâce au personnel de cet Etablissement public affecté à la couverture de cette édition foraine 2025, ils ont eu des explications necessaires sur les missions et services de l'Ogefrem. Leur attention a été particulièrement retenue par le bien donné des instruments de traçabilité et de suivi des cargaisons du port d'embarquement au port de destination. A savoir la FERI (Fiche électronique des renseignements à l'importation) LA FERE( Fiche électronique des renseignements à l'Exportation) et L'AD( Attestation de destination). Matière qui relève de leur filière académique. 

Aussi ont-ils été édifiés sur les types de communications de cet Etablissement. A savoir la communication interne( verticale ascendante et descendante , c'est à dire de la Direction Générale, aux Directions de siège, aux Entitéset et Représentations et vice versa) et la communication externe ( médiatique/ Radios, TV et presse écrite ainsi que la communication numérique/ Réseaux sociaux ) de l'Ogefrem 

Cest par une photo dr famille que ces visiteurs du dimanche 17 Août 2025 au stand de l'Ogefrem sont repartis satisfaits de l'acceuil leur résérvé par Madame Sandrine Lopepe, chef de bureau identification des besoins des chargeurs à la DFAC, par Roger Kapangala de la sécurité, 

Ernest Sengey Mohindo, agent de Bureau à la DANTIC et Louis d'or Balekelayi, Chef de service communication à la DRPC.

 

LA RÉDACTION 

FICKIN: LES ÉTUDIANTS DE L'ISIPA VISITENT LE STAND DE L'OGEFREM
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DÉSIGNATION CONTROVERSÉE D'UN CONSUL GÉNÉRAL POUR GOMA: LES RELATIONS RDC-KENYA MISES EN ÉPREUVES

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) a tenu à rappeler ce samedi 16 août 2025 que toute nomination de chef de poste consulaire sur son territoire doit impérativement recevoir son accord préalable et obtenir l’exequatur du Ministère des Affaires étrangères à Kinshasa.

Cette réaction intervient après des informations rendues publiques par la State House du Kenya, annonçant la nomination d’un Consul général pour la ville de Goma, dans le Nord-Kivu.

La RDC souligne que, conformément au droit international et à la Convention de Vienne sur les relations consulaires de 1963, toute désignation d’un chef de poste consulaire doit passer par l’aval des autorités congolaises et le processus officiel via le ministère compétent. Kinshasa attend donc d’être officiellement saisi par Nairobi par les voies diplomatiques habituelles et y répondra uniquement par ces mêmes canaux.

Le communiqué rappelle également la situation particulière de Goma, encore sous occupation illégale du M23/AFC avec le soutien du Rwanda, une situation marquée par des violations graves des droits humains, touchant notamment les femmes et les enfants. Dans ce contexte, toute annonce de nomination d’un consul dans la ville est jugée « inappropriée » si elle n’a pas reçu l’accord des autorités congolaises.

La RDC appelle enfin à la prudence dans la communication publique afin d’éviter toute confusion, spéculation ou impression de légitimation de l’occupation illégale. Le pays réaffirme sa souveraineté et son attachement à des relations bilatérales constructives avec le Kenya ainsi qu’à la coopération régionale au sein de la Communauté d’Afrique de l’Est.

 

LK

DÉSIGNATION CONTROVERSÉE D'UN CONSUL GÉNÉRAL POUR GOMA: LES RELATIONS RDC-KENYA MISES EN ÉPREUVES
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OGEFREM : PROJET DE CONSTRUCTION DES PLATEFORMES LOGISTIQUES POUR DÉSENCLAVER LES RÉGIONS STRATÉGIQUES DE LA RDC

Dans une démarche visant à renforcer le contrôle des flux commerciaux, sécuriser le fret et améliorer la fluidité du transport à travers le pays, l’Office de Gestion du Fret Multimodal (OGEFREM) a conçu une série de projets d’envergure sur toute l’étendue du territoire national.

Ce plan ambitieux répond aux défis logistiques imposés par la configuration géographique particulière de la République Démocratique du Congo, notamment l’enclavement des zones Est et Sud, confrontées à des difficultés d’accès et de connectivité.

Le programme comprend la mise en place de 12 infrastructures clés, parmi lesquelles :

- Des ports secs stratégiques, notamment à Kasumbalesa (Haut-Katanga), Beni et Kasindi (Nord-Kivu), Lufu et Kifuku (Kongo Central), Dilolo (Lualaba), et Kamanyola (Sud-Kivu), Kalamba-mbuji (Kasaï central);

- Des plateformes spécialisées, telles que le parc à bois de Mbandaka (Équateur), l’entrepôt d’Ishasha (Nord-Kivu), et le centre de groupage de Kavimvira (Sud-Kivu) ;

- Des aires de stationnement modernes, prévues à Maluku (Kinshasa) et Kasangulu (Kongo Central).

À travers ce plan, l’OGEFREM confirme sa volonté d'accompagner la modernisation du secteur logistique et de soutenir l’intégration économique régionale, tout en assurant une meilleure traçabilité des marchandises importées et exportées.

 

A. BOPE

OGEFREM : PROJET DE CONSTRUCTION DES PLATEFORMES LOGISTIQUES POUR DÉSENCLAVER LES RÉGIONS STRATÉGIQUES DE LA RDC
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PROCÈS MUTAMBA : LE JOUR OÙ UN ANCIEN MINISTRE A PLEURÉ SA JUSTICE... “CETTE JUSTICE QUE J'AI SERVIE AVEC AMOUR M'A TOUT ARRACHÉ”

La Cour de cassation a clos, mercredi 13 août 2025, les audiences du procès de Constant Mutamba, ancien ministre de la Justice et Garde des Sceaux, poursuivi pour détournement présumé de 19 millions de dollars destinés à la construction d’une prison à Kisangani. Le ministère public a requis 10 ans de travaux forcés, assortis d’une interdiction d’exercer toute fonction publique et de droits civiques pendant une décennie, ainsi que la privation de libération conditionnelle et l’obligation de restituer intégralement les fonds supposément détournés.

Mais ce jour-là, l’histoire judiciaire congolaise n’a pas seulement retenu un réquisitoire implacable. Elle a été marquée par un moment d’humanité brute, rare et bouleversant. Face aux juges, les yeux brillants, la voix tremblante, Constant Mutamba a lancé :

« Aujourd’hui, cette justice que j’ai servie avec tant d’amour m’a tout arraché , mon honneur, ma crédibilité, ma dignité , mon directeur de cabinet …»

Ces mots, lourds de sens et de douleur, ont suspendu le temps. Dans la salle, l’émotion a traversé tous les rangs. Les murmures se sont tus. Certains spectateurs, incapables de contenir leurs larmes, ont détourné le regard, tandis que d’autres serraient les poings, bouleversés par ce cri d’âme.

Un réquisitoire qui tombe comme un couperet

Le ministère public a déroulé un dossier d’une précision implacable. Selon l’accusation, Mutamba aurait contourné les procédures légales, en attribuant un marché de gré à gré à Zion Construct, une société fictive sans siège ni garanties. Les 19 millions USD ont été transférés vers ce compte ouvert seulement 24 heures plus tôt, sans autorisation du Conseil des ministres ni avis de non-objection. Ces faits, expliquent les magistrats, constituent une atteinte grave à l’honneur de la fonction qu’il occupait et au caractère sacré de la justice congolaise.

Pour l’accusation, l’ancien ministre, juriste expérimenté, ne pouvait ignorer ces règles. La demande est claire : 10 ans de travaux forcés, interdiction de voter ou d’exercer des fonctions publiques, et restitution intégrale des fonds.

Une défense qui met en lumière un procès politique

La défense a décrit le procès comme un règlement de comptes politique. Mutamba n’avait jamais eu d’accès direct aux fonds et ne pouvait en aucun cas contrôler l’ouverture du compte séquestre. Selon ses avocats, les poursuites seraient la conséquence de réformes dérangeantes qu’il avait initiées et qui auraient suscité hostilité et jalousie dans certains cercles du pouvoir et de la magistrature.

« Ce procès devait arriver pour démontrer que je suis dans le droit chemin. Je reste prêt à servir mon pays », a-t-il rappelé, fidèle à l’image d’un serviteur d’État qu’il revendique.

Le sacrifice d’un réformateur

Ce procès a tout d’une tragédie politique. Beaucoup y voient la mise à mort symbolique d’un réformateur, un homme seul sacrifié pour des enjeux de pouvoir. La scène qui a marqué l’audience, Mutamba dévoilant sa douleur et ses blessures, dépasse le cadre judiciaire. Elle interpelle chaque citoyen. Un serviteur de l’État, confronté à l’ingratitude et aux intrigues, se retrouve isolé face à un système qu’il croyait pouvoir améliorer.

Les mots de Mutamba, répétés dans la salle :

« Cette justice que j’ai servie avec tant d’amour m’a tout arraché » résonnent comme une accusation silencieuse contre un système qui broie ses serviteurs loyaux.

Entre émotion et politique

Ce procès ne se lit pas seulement comme une affaire judiciaire, mais comme un miroir de la société congolaise et de ses rapports au pouvoir. Il soulève des questions cruciales. Comment la justice peut-elle rester impartiale face aux enjeux politiques ? Qu’advient-il des hommes qui osent réformer et se dressent contre les intérêts établis ? À quel point l’ombre des complots et des règlements de comptes politiques peut-elle entacher la vérité ?

Mutamba apparaît aujourd’hui comme un homme trahi par la machine qu’il a servie avec passion, offrant un spectacle à la fois dramatique et profondément humain. Ce n’est plus seulement un procès, c’est le récit poignant d’une déchirure morale et d’un combat pour l’honneur.

Verdict attendu comme un séisme

La Cour a pris l’affaire en délibéré. Le verdict sera rendu le 27 août 2025. Quel que soit l’issue, cette audience restera comme le jour où un ancien ministre a pleuré sa justice, un cri qui résonne au-delà de la salle d’audience, touchant les consciences et confrontant la Nation à ses propres contradictions.

 

CHALLENGEINFO.CD

 

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