Quand le Fédéralisme cache un agenda séparatiste – Un politicien congolais prêt à renoncer au serment de l'hymne national._
Depuis des décennies, la République Démocratique du Congo, dont la grandeur irrite certains, subit des tentatives répétées de dislocation. Derrière les conflits internes soigneusement entretenus se cache une exploitation illégale des ressources naturelles – véritable moteur de l'idée soudaine de fédéralisme, nouveau visage d'un projet de balkanisation longtemps caressé.
Ce dessein inquiétant resurgit aujourd'hui sous le prétexte fallacieux de dénoncer un "tribalisme" du pouvoir actuel. Une accusation stratégique : les instigateurs savent que leur projet ne peut aboutir qu'en brisant les liens familiaux et culturels qui unissent les Congolais d'est en ouest, du nord au sud.
Nous ne cédons pas à la paranoïa, mais restons vigilants. Les signes sont troublants :
- Pourquoi l'armée souffre-t-elle soudain de graves lacunes de coordination face aux ennemis de la nation, n'est-ce pas parce qu'ils l'ont infiltré en préparation de leur monstrueux projet qu'ils tentent d'imposer par force ?
- Pourquoi le fédéralisme, absent du débat public depuis la chute de Mobutu, devient-il soudain une "urgence" portée par des figures ambiguës ?
- Comment expliquer que Moïse Katumbi, jamais prompt à condamner l'agression rwandaise, reprenne via son porte-parole Kamitatu les mêmes revendications que Corneille Nangaa (AFC), personnage ouvertement accusé de trahison ?
Ces questions révèlent l'arrogance d'une élite se croyant plus intelligente que le peuple congolais tout entier. À ces fédéralistes de circonstance, nous disons : votre manipulation est éventée. Vous pourrez tromper certains, mais jamais la majorité. Même en imposant votre volonté par la force, vous ne briserez pas notre résolution.
Face à ce danger, chaque Congolais éclairé doit se dresser. Refusons ces germes de division tribale semés à dessein. Honorons le serment de notre hymne national :
"Nous peuplerons ton sol et nous assurerons ta grandeur.
30 juin, ô doux soleil,
Jour sacré, sois le témoin
De l'immortel serment de liberté
Que nous léguons à notre postérité.
Pour toujours !"
*P. MAK*
_Libre Penseur_
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