Joseph Kabila bientôt devant la justice pour haute trahison. Selon " *LE PHARE* ", l'Auditeur Général des FARDC vient de saisir formellement le Bureau du Sénat, pour solliciter la levée des immunités de Joseph Kabila, Président de la République honoraire, sous sa casquette de «Sénateur à vie »
. Cette requête, précise le tabloïd, repose sur trois griefs principaux à sa
charge : « haute trahi- son, crimes de guerre et crimes contre l’humanité ».
Le Ministre de la Justice, Constant Mutamba, renchérit " *LE POTENTIEL* ", dit avoir réuni un «maximum de preuves» liant
l’ex-président à la rébellion de l’AFC/M23. Mais souligne le tabloïd, les poursuites,
restent suspendues à la décision du Sénat
Pour " *OURAGAN* ", le sort de Kabila entre les mains du Sénat. Reste à savoir si les institutions du pays suivront la ligne dure défendue par le ministère de la Justice, ou s’il faudra intégrer les appels à l’apaisement qui émergent tant au niveau national qu’international.
La justice militaire, souligne " *RFI.FR* ", se réfère au statut de sénateur à vie de Joseph Kabila pour enclencher la procédure.
Pour la première fois dans l'histoire politique de la RDC, écrit " *INFOS27* ", un ancien président de la République est formellement visé par la justice pour des faits qui relèvent de la haute trahison. Un basculement. Mais fallait-il vraiment s'en étonner ? Depuis février, rappelle le tabloïd, Joseph Kabila a multiplié les signaux d'alignement avec les positions de l'AFC/M23, coalition armée dont la brutalité sur le terrain n'est plus à démontrer, et que la communauté internationale, par la résolution 2773 du Conseil de sécurité adoptée à l'unanimité le 21 février 2025, a clairement désignée comme un instrument du Rwanda.
Pour sa part, " *ECONEWS* ", estime que la chasse à l’homme est ouverte : Kabila, en exil, est officiellement recherché, désormais estampillé : « Wanted ! ». La
RDC assiste-t-elle à un tournant judiciaire historique – ou à une vendetta politique ? Difficile à prédire.
Autre chose. Paix à portée de main entre la RDC et le Rwanda. Les États-Unis et le Qatar à la manœuvre. " *LE POTENTIEL* ", estime qu'un nouvel accord de paix, soutenu par ces deux puissances, pourrait marquer un tournant décisif dans la dynamique conflictuelle de la région. Cependant, la question demeure : combien de temps cette paix pourra-t-elle durer ? La RDC, rappelle le tabloïd, a déjà signé plusieurs accords de paix par le passé, mais l’Est du pays reste instable...
Pour la paix et jeter les bases du développement économique, RDC et le Rwanda signent un plan de paix à Washington, barre à la Une " *L'AVENIR* ". C’est aujourd’hui 2 mai que sera signé, sous les auspices du gouvernement
américain, l’accord de paix RDC-Rwanda
sensé assurer la paix et jeter les bases du développement économique.
Pendant ce temps, la solution Trump suscite autant d'espoir que de méfiance à Kinshasa, souligne " *JEUNEAFRIQUE.COM* ". Si les contours de ce deal favorisé par Donald Trump sont flous, il suscite des inquiétudes dans la classe politique congolaise, qui craint que le président Félix Tshisekedi ne brade les ressources du pays.
Crainte de bradage des minerais du pays, le deal minier de Tshisekedi et Trump très surveillé, barre à la Une " *CONGO NOUVEAU* ". Le Trihebdomadaire fait allusion notamment à la sortie médiatique du porte-parole de LAMUKA, Prince Epenge.
La réponse du gouvernement est à lire dans " *AFRICANEWS* ". D'après Patrick Muyaya, il n’y aura ni bradage ni cogestion». À en croire le Porte-parole de
l’Exécutif national, il n’y aura pas non plus de cogestion comme certains tentent de
le faire croire. Il est plutôt question de faire des études pour promouvoir des projets
intégrateurs.
Pour " *OURAGAN* ", la mise au point du porte-parole du gouvernement vient couper court aux rumeurs sur un quelconque bradage des minerais congolais. Face aux nombreuses zones d'ombre, Muyaya apporte la lumière nécessaire pour dissiper le malentendu et
rassurer l'opinion publique.
L’aile dure de l’Opposition en RDC fait bloc
dans la recherche d’une solution durable à la crise qui a ressurgi depuis près de cinq ans dans l’Est du pays. Selon " *AFRICANEWS* ", Martin Fayulu, Joseph Kabila, Delly Sesanga et Moïse Katumbi
ont signé une déclaration commune pour appeler à un «dialogue interne» et réitérer leur «détermination à œuvrer ensemble pour une solution durable à la crise».
Dans ce document incisif, dont l’écho devrait retentir sur la scènepolitique nationale et internationale, commente de son côté " *LE POTENTIEL* ", l’opposition exprime à la fois son appréciation pour
certaines initiatives de résolution de la crise, tout en soulignant avec force les insuffisances des approches actuelles et
en formulant des exigences claires pour une solution véritablement durable et inclusive.
Dans ce texte, ajoute " *LA PERCÉE* ", ils
appellent à une solution congolaise à la crise sécuritaire dans l’est du pays et dénoncent l’exclusion des Congolais dans les négociations en cours.
Martin Fayulu, Delly Sessanga, Moïse Katumbi et Joseph Kabila, renchérit " *LE QUOTIDIEN* " estiment dans leur déclaration que la signature de la déclaration conjointe entre les délégués du gouvernement et de la rébellion de l'AFC M23 et la déclaration des principes entre Kinshasa et Kigali sous les auspices américains représentent une avancée
significative dans la résolution de la crise sécuritaire. Pour eux, ces avancées ne constituent pas une base suffisante pour une solution définitive et durable de la crise.
Qui l'aurait cru, se demande " *CONGO NOUVEAU* "? L'ancien président de la
République, Joseph Kabila, a cosigné une déclaration commune avec son ennemi
politique d'hier, Martin Fayulu.
Une coalition hétéroclite mue par des intérêts personnels, dénonce pour sa part " *IMPACT NEWS* " qui relie la réaction d'un journaliste sur les réseaux sociaux. ’Martin Fayulu qui a longtemps combattu Kabila et tout son système aux côtés de Félix Tshisekedi avant 2018, est devenu aujourd’hui allié de ce même Kabila et signe conjointement la déclaration avec
Kabila dans laquelle, ils traitent tous Tshisekedi de dictateur’’, écrit ce professionnel des médias.
Dans le reste de l'actualité. Malgré le contexte de crise dans l'est, Judith Suminwa maintient les échanges avec la FEC. Selon " *FORUM DES AS* ", la Première Ministre, Judith Suminwa, a accordé, mercredi dernier, une audience au président de la Fédération des Entreprises du Congo, Robert Malumba. Ce dernier a soumis à la Cheffe du Gouvernement
plusieurs préoccupations des opérateurs économiques liées à l’amélioration du climat des affaires en RDC, de manière générale, et à l’application de mesures d’allègements fiscaux.
En visite de travail, à la DGI, Doudou Fwamba satisfait du travail réalisé. L'argentier national, rapporte " *LA RÉFÉRENCE PLUS* ", a encouragé les agents et cadres de la Direction générale des impôts à maintenir le cap dans le respect strict des lois fiscales, et à poursuivre leurs efforts pour renforcer un environnement fiscal stable et équitable.
Dans un autre chapitre. Horreur à Kinshasa Kinshasa après la pluie diluvienne hier jeudi, révèle " *FORUM DES AS* ". De
Macampagne dans la commune de Ngaliema, du quartier Kilimani à Kintambo, en passant par le quartier Lubudi dans la
commune de Bandalungwa, de NgiriNgiri vers Saio, que de graves dégâts : parcelles
submergées, murs écroulés, des habitants
en fuite.
En sport pour terminer, " *LEPOUVOIRDUPEUPLE.COM* ", annonce une tournée des léopards en France. D'après ce média en ligne, la RDC livrera 2 matchs amicaux internationaux au mois de juin prochain à Orléans en France. D'abord, le 05 juin, la RDC va affronter le Mali et le 08 juin, contre le Madagascar.
*Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)*
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