
Félix Tshisekedi confirme la tenue d’un dialogue national, barre à la Une " L'AVENIR ".
Lors du 2ème congrès de l’Union sacrée, le chef de l’État a réaffirmé son ouverture à un dialogue inclusif, tout en refusant toute médiation venue de l’extérieur.
Tshisekedi rejette les dialogues imposés par l’extérieur, titre de son côté " AFRICANEWS ". Cette déclaration, applaudie par l’assemblée, a été l’une des phrases les plus marquantes de la journée.Elle répond directement aux tentatives répétées de certains acteurs politiques de déplacer les discussions nationales sous l’autorité de puissances étrangères ou d’organisations internationales.
Pour Félix Tshisekedi, ajoute " LA PROSPÉRITÉ ", il n’est point question de confondre vitesse et précipitation dans les efforts visant la restauration de la cohésion restauration et de l’éveil patriotique en RDC, dans un contexte de crise sécuritaire préoccupante dans l'est.
La question du dialogue politique en RDC prend une nouvelle tournure, constate " LE POTENTIEL ". Le président Félix Tshisekedi a exprimé son accord de principe avec l'idée défendue par l'opposition et soutenue par la CENCO-ECC, mais avec une réserve majeure : l'exclusion de certaines personnalités considérées comme " inféodées à des puissances étrangères ". Une position qui, selon le tabloïd, risque de contrarier les attentes de la société civile et de l'Église catholique, lesquelles plaident pour un processus pleinement inclusif afin de décrisper les tensions politiques, sécuritaires et sociale.
De son côté, " LA TEMPÊTE DES TROPIQUES ", dit comprendre que cette intervention du Président Tshisekedi au 2ème Congrès extraordinaire de l'USN est une réponse à l'ancien Président de l'Afrique du Sud, Thabo Mbeki, qui projette une conférence sur la paix, à Johannesburg, en invitant les représentants du gouvernement, les opposants armés et non armés.
Au sujet des pourparlers entre Congolais pour la paix dans l'est, LAMUKA réfléchit sur la possibilité de participer au dialogue initié par Thabo Mbeki. D'après " OPINION-INFO.CD ", le porte-parole de Lumuka, Prince Epenge a confirmé avoir reçu l’invitation de la Fondation Thabo Mbeki, et indiqué que sa famille politique voit dans quelle mesure y répondre.
Revenons au congrès de l'union sacrée, organisé selon " CONGO NOUVEAU ", sous le signe de l’unité et de la souveraineté nationale. Pour le trihebdomadaire, cette rencontre politique majeure a marqué une étape décisive dans la vie de la plateforme présidentielle.
Pour Moïse Moni Della, cité par " FORUM DES AS ", l’Union sacrée doit disparaître et laisser place au camp de la Nation. Alors qu’il a réuni samedi sa plate-forme politique à Kinshasa, le président de la République doit rassembler plutôt au-delà de ce qui apparaît comme son camp politique. Pendant que le pays est sérieusement menacé de Yougoslavie ou de Balkanisation, le camp du président de la République ne peut qu’être le camp de la Nation.
Autre chose. L'ex-gouverneur du Nord-Kivu, le lieutenant-général Peter Cirimwami sera inhumé ce lundi. C'est le chef d'Etat-major général des FARDC, le lieutenant-général Banza Milambwe Jules qui l'a annoncé dans un document signé le 27 août dernier et consulté par " 7SUR7.CD ".
Et puis cette tribune publiée par " CONGO NOUVEAU ", sur la situation sécuritaire. A en croire son auteur, l'un des grands facteurs négatifs catalyseurs de l'insécurité politique et sécuritaire de la RDC est le manque des politiques sévères, modernes et appropriées visant à apporter des solutions durables pour l’intérêt général de la population.
Kinshasa se prépare à une journée hors du commun, écrit " LE POTENTIEL ", où l'agenda politique, judiciaire et social risque de plonger la capitale dans un véritable tourbillon. Entre la rentrée scolaire qui ramènera des milliers d'élèves sur des routes déjà saturées par des travaux, le verdict explosif attendu dans le procès de Constant Mutamba, les funérailles officielles du général Peter Chirimwami en présence du chef de l'État, et une coupure d'eau touchant plus de la moitié des communes, la ville redoute un lundi noir.
Annoncé pour le lundi 1er septembre, le verdict dans l'affaire Mutamba, est repoussé au mardi 2 septembre. Ce report de verdict, répond exclusivement à des exigences de procédure, à en croire une communication du Conseil supérieur de la Magistrature parvenue au journal " LE POTENTIEL ". Ce que contestent les ProMutamba qui estiment qu'il s'agit d'une diversion visant à détourner l'attention de nombreux soutiens de l'ex-ministre de la Justice.
A en croire un des avocats de Constant Mutamba, à savoir Me Joël Ki- tenge, contacté par " LE PHARE ", l’audience au cours de laquelle devrait être rendu l’Arrêt de la Cour de Cassation dans le dossier de son client reste maintenue à ce lundi 1er septembre. Selon ce membre de la défense, le Conseil Supérieur de la Magistrature n’a pas qualité pour décider du changement de date de l’audience fixée par la Cour de Cassation.
Les conseils de Mutamba, relayés par " LE QUOTIDIEN ", dénoncent une stratégie savamment montée pour empêcher la population de sortir et de manifester sa solidarité à l’ancien ministre de la Justice.
Dans un autre chapitre. C’est la rentrée scolaire! Ce lundi 1er septembre, rapporte " AFRICANEWS ", les élèves de tout le pays retrouvent les bancs de l’école, après près de deux mois de congés. À cette occasion, la ministre de l’Éducation nationale, Raïssa Malu, a adressé un message engageant aux parents, qui jouent un rôle crucial en tant que partenaires dans le domaine éducatif, étant les premiers à accompagner leurs enfants.
Une rentrée des classes marquée selon " RFI.FR ", par la crise économique et l'insécurité dans l'est du pays. Dans les provinces du Nord et Sud-Kivu, de nombreux parents ont eu du mal à préparer cette rentrée des classes en raison des conditions économiques et sécuritaires.
Avec la rentrée scolaire prévue ce lundi 1er septembre, souligne "INFOS27", la capitale congolaise s'apprête à accueillir des milliers d'élèves dans un contexte marqué par de vastes travaux routiers. Pour éviter la paralysie du trafic, six avenues stratégiques ont été rouvertes partiellement, une mesure présentée comme transitoire mais essentielle pour maintenir la mobilité urbaine.
Tapie Lutunu ( 089 169 48 34)
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